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ALLAH BARHAMA
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ALLAH BARHAMA

VIP-Blog de emeu
mamadou2h@hotmail.com

  • 192 articles publiés dans cette catégorie
  • 269 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 27/04/2007 01:51
    Modifié : 25/05/2010 23:14

    Garçon (28 ans)
    Origine : Dakar
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    [ Articles ] [ Multimédia ] [ Sahabas de la Fayda ] [ Prophètes de L'ISLAM ] [ Disciples Tidjani ]

    Imam Hassan Cissé et Mouhammad Nazir Niass

    04/09/2008 14:13

    Imam Hassan Cissé et Mouhammad Nazir Niass


    IMAM

    Il est un petit-fils et un héritier de Cheikh al Islam El Hadji
    Ibrahima NIASS affectueusement appelé « Baye NIASS». Mystique et
    charismatique, il intervient dans le social et parcourt le monde pour
    transmettre le message de l'Islam. Il compte des milliers e talibés,
    au Sénégal et à travers le monde, mais reste effacé et n'agit que
    sur le compte exclusif de l'Islam et des musulmans. Regard sur un
    exemple de guide religieux dont Allah Seul est l'Architecte du
    devenir
    Dans l'Histoire de l'Islam, Hassane fut le deuxième Imam de
    Médine. Et comme lui, Imam Hassane Cissé qui porte le même nom est
    le deuxième Imam de Médina Baye, du nom de Médine. Hassane est aussi
    le fils de Fatima Zahra, fille du Prophète Mouhamed (PSL). Et comme
    lui encore, Imam Hassane Cissé est le fils de Fatima Zahra NIASS,
    fille aînée de Cheikh al Islam El Hadji Ibrahima NIASS. Hassane est
    également fils de Ali, premier Imam de Médine. De même Imam Hassane
    Cissé est le fils de Alioune - nom dérivé de Ali - premier Imam
    de médina Baye NIASS. Entre Hassane, petit-fils du prophète (PSL) et
    Imam Hassane Cissé s'établit ainsi une coïncidence heureuse
    marquée du sceau de la divine providence. Mieux, tous les deux,
    malgré la longueur du temps et l'éloignement des saints lieux,
    portent un nom prédestiné, Hassane, qui signifie en arabe, le « bon
    », le « beau ». Et dans son comportement, son mysticisme, son allure
    et son action, tout indique que Imam Hassane Cissé charrie en lui les
    vertus sacerdotales de la bonté et de la beauté du geste et de
    l'âme.
    L'homme est charismatique. L'ésotérisme et la pentagramme lui
    confèrent une force mystique. Ses yeux de foudre dégagent un
    magnétisme qui hypnotise même l'interlocuteur. De taille moyenne,
    il a des épaules et une poitrine assez larges. Une barbe blanche
    ornée dune façon particulière son visage vermeil imprégné d'un
    soufisme qui l'illumine. Dans son silence qui n'est que
    recueillement, il démontre une attitude réservée qui rend compte
    d'une permanente méditation. De nature circonspecte, il est doué
    dés le bas âge pour la réflexion et la concentration qui le livrent
    à des activités spirituelles continues et à la recherche d'un
    idéal. Cheikh Baba Lamine NIASS, son oncle avec qui il a vécu sept
    ans dans une même chambre, témoigne : « très jeune, il s'était
    engagé à aller jusqu'à Sao Paolo » porter le message de
    l'Islam.
    Aujourd'hui, « Imam» ayant le grade de Amir al Mouminine - guide
    des Croyants - il a, grâce à sa dimension mystique à
    l'enseignement de son grand-père de Cheikh al Islam El Hadji
    Ibrahima NIASS, renoncé à lui-même en faveur d'un absolu retour à
    Allah. C'est pourquoi, il est d'une exquise sociabilité et d'un
    mysticisme pur qui constituent pour son entourage et ses talibés un
    rayon de gaieté et de joie de vivre.
    Un héritier de Cheikh al Islam
    Lorsque Imam Hassane Cissé entame un discours et une conversation, il
    chasse Satan, rend grâce à Allah et salue le Prophète (PSL) comme
    pour enseigner que rien ne saurait être réel qui ne soit divin. Dans
    une conversation avec lui, l'on découvre qu'il n'est pas
    seulement musulman parce qu'il croit, mais surtout par ce qu'il
    fait. C'est qu'en réalité, il est un pur produit de Cheikh al
    Islam El Hadji Ibrahima NIASS qui l'a façonné, ayant grandi à son
    ombre protectrice et promotrice.
    Il fut le premier à lui demander l'autorisation de sortir de Médina
    Baye pour aller en Mauritanie en compagnie de son maître coranique,
    Ahmad Mahmoud. Ainsi l'accord du Saint Homme ouvrit la voie à
    d'autres demandes d'autorisation comme celle de Cheikh Mouhamed
    Nazir NIASS
    avec qui il se rendit en Mauritanie. Mais ce fut une
    période difficile. Il se retrouve dans un lieu désertique « sans
    eau, ni électricité », « se nourrit de couscous en guise de
    déjeuner et de bouillie de mil en guise de dîner », et fait même
    plus de 6km à la recherche d'eau avec comme moyen de transport des
    ânes. « Je me souviens que quand on rassemblait du bois pour le feu,
    des serpents surgissaient », rappelle-t-il. Et de ce dur séjour en
    Mauritanie, il tire un enseignement : « on n'accède pas au miel
    avant d'avoir subi la piqûre des abeilles ». C'est que ce séjour
    en Mauritanie fut une épopée pénible qui rend compte des conditions
    douloureuses dans lesquelles il a débuté sa quête de connaissance.
    Après deux années de dur labeur, il retourne à Médina Baye auprès
    de Cheikh al Islam El Hadji Ibrahima NIASS qui le reprend en charge et
    lui assure l'enseignement du Fiqk alors que Cheikh Amadou THIAM lui
    apprend la grammaire arabe. Il se familiarise alors avec les grands
    ouvrages des soufis et s'initie avec bonheur à l'exégèse du
    Coran. Cheikh al Islam le prend sous son aile protectrice et il devient
    à la fois son talibé, son confident et son ami. Il le fait voyager :
    Ghana, Nigeria, Arabie Saoudite, Irak, Liban, Jérusalem, Caire etc.
    C'est au Caire d'ailleurs, à Al Azhar, qu'il obtient sa licence.
    « De retour à Médina Baye, je voulais travailler. On avait même à
    l'époque mis à ma disposition un salaire de 250 mille ainsi
    qu'une résidence et un véhicule », se souvient-il. Mais Cheikh al
    Islam El Hadji Ibrahima NIASS lui demande encore « d'aller étudier
    l'Anglais » et il s'engagea à en prendre les charges.
    Ainsi, il se rend en Angleterre, à Oxford, où il obtient en 1974 sa
    Maîtrise en Philosophie. Puis Cheikh al Islam lui exprime une énigme
    entre les Etats-Unis et l'Angleterre. « Un Moukhadam nigérian m'a
    expliqué l'énigme et je compris alors que je devais me rendre aux
    Etats-Unis d'Amérique », dit-il. Et en moins de trois semaines, il
    fait l'objet de plusieurs sollicitations d'Américains qui
    demandent à être convertis à l'Islam ou sollicitent la formulation
    de prières. Il posait ainsi les premiers jalons d'une mission qui
    était l'enseignement de Cheikh al Islam et la divulgation de la
    pratique de la Tidjianya. De retour en Angleterre, la police d'Etat
    dut même débarquer chez lui en raison des nombreux appels
    téléphoniques qu'il recevait de partout. C'est cette période
    qu'il entame la rédaction de sa thèse de Doctorat de 3ème Cycle.
    Mais en 1982, sa mère lui donne l'ordre de retourner au bercail à
    cause de l'état de santé de son père. Allah Intervient à l'aube
    : à l'heure du wazifa, une femme appelle à sa demeure et
    l'informe « qu'elle lui faisait parvenir une somme de trois mille
    dollars ». Puis un autre homme fait de même depuis l'Arabie
    Saoudite et lui envoie à partir d'un compte de l'USB « une autre
    somme de trois mille dollars ». Il compris que Allah intercédait
    ainsi pour lui permettre de rejoindre le Sénégal dans les plus brefs
    délais. Le 24 mars 1982, il débarque à Médina Baye. Il reçut les
    adieux du père qui lui formule des prières puisées dans l'immense
    lumière qui irriguait son âme qui s'éteint le 11 avril 1982, date
    à laquelle il accède à l'imamat, que Cheikh al Islam El Hadji
    Ibrahima NIASS lui avait confié sous forme prophétique, déjà des
    années auparavant. Cette séquence lui rappelle aussi les derniers
    moments qu'il a vécus avec Cheikh al Islam El Hadji Ibrahima NIASS
    d'abord à Paris, puis à Londres. La longue prière que le Saint
    Homme lui avait formulée était pour lui un adieu.
    En fait, Imam Hassane Cissé est doté d'une force d'intuition qui
    lui permet vite de déchiffrer la géographie secrète des âmes avec
    qui il entretient une communication permanente. D'ailleurs le premier
    jour d'arrivée de Cheikh al Islam El Hadji Ibrahima NIASS à
    Londres, il comprit mieux l'imminence de l'extinction de son âme.
    « J'ai vécu les derniers instants de sa vie » raconte-t-il. «
    Dés que je fus à son chevet, il me fait part d'un rêve : Allah me
    donnait deux enfants que je baptisais tous en son nom. Il me dit :
    C'est le moment de l'héritage. Alors je compris ». Il écrira
    plus tard un ouvrage intitulé : Les derniers jours de Cheikh al Islam
    El Hadji Ibrahima NIASS. Aujourd'hui, c'est avec émotion qu'il
    rappelle et explique comment, avec dignité, et foi le Saint Homme
    affrontait la mort grâce à une âme extatique qui se pâmait
    mystérieusement au giron de Allah (SWT).
    Sur les sentiers de l'Universel
    Intellectuel, polyglotte, conférencier, philosophe, exégète et
    pasteur, Imam Hassane est très impliqué dans le secteur de
    l'éducation, de la santé, de l'environnement. Personnalité
    intuitive, compréhensive et de nature charitable, il possède des
    connaissances mystiques qui font de lui un être recherché pour son
    savoir. Pour son oncle Baba Lamine NIASS qui le connaît bien, « il
    incarne des vertus qui reflètent les nobles sources de son âme ».
    Il est entreprenant et se caractérise par son goût de
    l'organisation et son amour du mouvement. Il voyage beaucoup parce
    que, universaliste et explorateur, il est attiré par les pays
    inexplorés et sait que sa mission, prophétisée par Cheikh Al Islam
    El Hadji Ibrahima NIASS, est d'aller au-delà même de l'Atlantique
    et l'océan indien, porter la parole d'Allah, le message du
    prophète et la voie de la Tidjanya. Il a fait presque tous les pays de
    la planète où il compte des disciples. Dans sa demeure, considérée
    comme un lieu de service social, toutes les races défilent. Sa grande
    noblesse, l'immensité de ses connaissances mystiques et sa vaste
    érudition lui ont fait accéder à de hauts lieux où il connaît
    l'accroissement de son prestige et de sa gloire, Baba Lamine explique
    : « Ce n'est pas un hasard. C'est le fruit d'un dévouement et
    d'un travail infatigable. Il mérite bien son statut dans le monde
    ». D'ailleurs, il a rencontré les plus grands leaders historiques
    du monde, d'abord grâce à l'intercession de Cheikh Al Islam El
    Hadji Ibrahima NIASS dont les talibés se trouvent non seulement
    partout en Afrique mais aussi en Asie et en Amérique Latine, ensuite
    grâce à ses dons de diplomate et de son Savoir. Il a ses entrées
    dans les institutions américaines comme il en a dans d'autres
    grandes puissances. Dans son carnet d'adresses, les noms de hautes
    personnalités d'Afrique et d'ailleurs occupent les premières
    pages. Et l'album de photos que détiennent ses talibés rend compte
    de son prestigieux cercle de connaissance : Koffi ANAN, Chefs d'Etats
    africains, princes du Golf, etc.
    Lorsque Nasser le sollicitait, il avait opposé une réticence parce
    que refusant tout engagement politique. Le Raïs égyptien le convainc
    : « Ce n'est pas pour faire de la politique. Les politiques ont
    échoué. Il faut maintenant s'appuyer par la fraternité islamique
    », lui avait-il dit. Ses relations avec John KUFOR sont connues et il
    est devenu le Conseiller spécial en Affaires islamiques du
    Vice-président du Ghana.
    En toute modestie, il explique : « ce n'est pas quelque que nous
    avons cherché. Nous croyons que c'est le travail que nous avons fait
    pour l'Islam en suivant les traces Cheikh Al Islam qu'on nous
    ouvert les portes pour les personnalités politiques et civiles du
    monde ». Puis, il précise : « Cheikh Al Islam a eu des relations
    étroites avec De Gaulle, Shu En Laï, Sékou Touré, Daouda Diawara,
    Nasser, Bourguiba, Yacouba Gowon, Kwamé Krumah, Boumedienne, etc. ».
    Il rappelle des dizaines d'organisations islamiques dont Cheikh Al
    Islam était membre et rappelle les conversions faites à travers
    l'Afrique comme au Ghana « où lors d'un voyage, il a converti 8
    000 personnes à l'Islam ». « C'est même codifié dans les
    bibliothèques britanniques », précise-t-il encore en toute modestie.
    Aujourd'hui, Imam Hassane Cissé explore le monde. Il a crée une
    ONG, African American Islamic Institute, où de jeunes américains,
    nigérians, ghanéens, mauritaniens, etc. sont formés aux sciences
    islamiques. Il a construit une clinique, Shifâ Al Asqam, avec la
    collaboration de l'UNICEF. Aussi, membre de plusieurs ONG, il mène
    des œuvres caritatives en direction des handicapés et des
    nécessiteux. Par son action, il apporte une vision du monde dominée
    par la foi et la solidarité jusque dans les actes quotidiens. « Il
    faudrait bien que les pouvoirs publics aient une pensée pour le monde
    rural et les pauvres et qu'ils agissent en conséquences », dit-il
    dans un élan de générosité empreint de franchise. Pour lui, «
    l'être humain est un don d'Allah qu'Il a Lui a même crée mieux
    que tout autre créature. Investir en l'Homme, c'est donc investir
    en Allah ». C'est pourquoi de nombreux jeunes relèvent de son
    obédience et il les entretient de façon permanente de l'Islam, du
    prophète et des enseignements de Cheikh Al Islam. Son propos est
    toujours ponctué de références au Coran, au Prophète et à Cheikh
    Al Islam El Hadji Ibrahima NIASS.
    Cà et là, il distribue des médicaments, des chaises roulantes, de la
    nourriture et même de l'argent, « s'il en a à ceux qui le
    sollicite ». La situation politique l'amène à appeler « à la
    retenue et au respect de l'autre ». Si on lui demande son penchant
    politique, il affirme : « je suis du côté de ceux qui aident
    l'Islam et soutiennent l'éducation et la santé. Je suis toujours
    reconnaissant à ceux qui apportent une assistance à l'Institut et
    à l'hôpital que j'ai mis sur pied ». Avec sérénité, fermeté
    et conviction, il précise : « je suis un serviteur de l'Islam et
    des musulmans ». Et ainsi, la solidarité islamique reste son
    obsession.
    Il a fondé Kossi Atlanta, au cœur du Saloum, Atlanta en souvenir du
    pacte lié avec cette ville et des nombreux américains qui y sont
    originaires et qui s'y rendent et y logent. Il a réussi à
    l'équiper d'une mosquée, d'un forage et d'un réseau
    d'électrification. Cette cité est aussi à côté d'une autre du
    même nom où logeaient Cheikh Al Islam et son père Cheikh Alioune
    CISSE. Très jeune, il y a même dirigé une prière devant celui-ci et
    devant même son père. Et parce qu'il a reçu l'onction mystique
    de Cheikh Al Islam, il occupe aujourd'hui le Minebar de Médina BAYE.
    Intellectuel méthodique et ouvert à toutes les questions religieuses,
    éducateur fécond doté d'un sens de l'humour et d'un entrain
    qui séduit, il déteste le « mensonge et l'inconstance » et est
    naturellement animé d'un désir de paix et de tranquillité. Sa vie
    n'est pas de tout repos : « je suis serviteur de l'Islam et des
    musulmans », répète-t-il encore. Enthousiaste devant tout ce qui
    relève de l'Islam, il se caractérise par une débordante activité
    « pour la cause de l'Islam » et entretient de « fraternelles
    relations » dans toutes les « maisons religieuses » du Sénégal.
    Ses plus beaux souvenirs sont les moments vécus dans l'intimité de
    Cheikh Al Islam El Hadji Ibrahima NIASS et l'éducation multiforme
    reçue auprès de lui, lui sert de pilori. Mais son plus douloureux
    souvenir est le jour de l'extinction de celui-ci. « Je n'ai pas
    connu une douleur plus pénible que celle que j'ai connue ce jour-là
    » dit-il avec émotion. Et de ce Saint-homme il a appris a être
    patient, optimiste et de nature idéaliste.
    Au Sénégal comme ailleurs, il est devenu une personnalité imposante
    que les talibés Niassène vénèrent au plus haut point. Il reste un
    guide dynamique et diplomate qui utilise toujours un « nous » de
    modestie même s'exprimant en wolof. Et lorsqu'il prend congé de
    son hôte, il chasse encore Satan, rend grâce à Allah, salue le
    Prophète et formule une prière affectueuse qui intègre à une
    adoration universelle.

    NAZIR

    Directeur de l'institut El Hadji Abdoulaye Niass, Cheikh Mouhamadou Nazir était un homme pieux. il était toujours au service des talibés sans distinction, partageant avec eux leur souffrance, leur peine et leur joie. Sa figure nous rappelait la physionomie de son illustre père. son turban, son menton souligné d'une barbe blanche. Surtout sa manière de psalmodier le coran égayaient les talibés en particulier et la Ummah islamique en général. Le coran lui a valu plusieurs distinctions a l'échelle mondiale. Féru et admirateur du célèbre psalmodieur du Coran Abdel Basset, qui l'a inspiré, Cheikh Nazir a beaucoup oeuvré pour la Hadara de Cheikh al Islam au Sénégal et surtout en Gambie, à Néma kunda, au Nigeria et en Sierra Léone, où il a installé des daras (écoles) d'où sortent des "hafizoul quran" (ayant mémorisé le Coran).

     

    Il est venu deux fois à l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar rendre visite aux étudiants talibés de Baye Niass.

     

    Sa disparition a laisse un grand vide dans le cœur de toute la communauté musulmane. Il est décèdé le vendredi 27 avril 1998 au Caire et est inhumé auprès de son père à Medina Baye.

     






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