Cheikh Al Islam El Hadj Ibrahima Niass ( BAYE )

Shaykh Ibrahim Niass (1900-1975) était le disciple islamique le plus renommé de l'Afrique de l'ouest au 20ème siècle. Ses disciples ont numéroté dans les millions et ont comporté le plus grand mouvement musulman simple en Afrique de l'ouest (Hiskett, 1984). Il était également bien connu parmi l'ulama et les chefs du monde musulman plus large et d'un membre de tels organismes comme la ligue musulmane du monde (Al-Islami d'Alam de `d'Al de Rabitat basé en Arabie Saoudite, dont il a servi de vice-président), le congrès musulman du monde (Al-Islami d'Alam de `d'Al de Mutamar ; Karachi, Pakistan), l'Assemblée islamique de recherches (Al-Islamiyya d'Al-Buhuth de Majma ; L'Egypte) et le Conseil supérieur des affaires islamiques (Al-Islamiyya d'Al-Shu'un de Li d'aile du nez de `d'Al de Majlis ; L'Egypte). Après un voyage vers le Caire, l'Egypte, en 1961, il est devenu largement connu sous le nom de « Al-Islam de Shaykh » ensuite ayant mené les prières de vendredi dans la mosquée prestigieuse d'Azhar.

Shaykh Ibrahim a également maintenu des relations étroites avec plusieurs chefs en avant dans les mouvements de l'indépendance pendant les années 60, telles que Kwame Nkrumah (Ghana), Ahmad Sekou Touré (Guinée) et Gamal Abd Al-Nasser (Egypte). Il a fait campagne inlassablement pour que les gouvernements respectent les droites des musulmans et du opprimés dans le monde entier. Il a parlé dehors de plusieurs causes internationales, telles que l'agression israélienne vers les Palestiniens, mais il a été également intéressé aux issues interconfessionnelles et a maintenu de bonnes relations avec des représentants de Vatican. Il est également devenu impliqué dans des soucis sociaux, soumettant à une contrainte l'égalité raciale et les droits des femmes. En vue de ce dernier, le Shaykh encouragé des femmes « concurrencent les hommes dans la connaissance. »

Shaykh Ibrahim Abdullah Niasse était né au Sénégal rural, l'Al-Hadj Abdullah Muhammad Niasse de fils. L'Al-Hadj Abdullah (D. 1922) a représenté le point culminant d'une longue file des disciples islamiques dans la région de Senegambia, et était lui-même un shaykh well-traveled et consommé, attirant des étudiants tout autour de la région aussi lointaine que la Mauritanie. Shaykh Ibrahim a été instruit principalement aux mains de son père, avec le plein accès à la bibliothèque étendue de son père. Shaykh Ibrahim maîtrisé à un âge jeune du sien père la gamme complète des sciences islamiques : le Qur'an et son interprétation, le Hadith et leur explication, jurisprudence et Sufism.

Dans la référence à son fond éducatif et accomplissements, Shaykh Ibrahim a indiqué, « j'a appris Qur'an et Hadith d'abord de mon shaykh, de mon père, et de lui, de son père. J'ai reçu un ijaza de `(diplôme d'Al 'ilm de majalis) d'abord de mon père dans Qur'an et Hadith, puis d'Abdur-Rahman B. alHajj-1- différent 'un Alawi (Mauritanie) et un ijaza différent de `de Shaykh Ahmad Sukayrij (Maroc) que lui-même avait gagné à environ ijazas de six cents `de six cents shaykhs dont les noms sont mentionnés dans son livre, où il écrit, le `le premier qui j'ai donné à l'autorisation dans toutes ces chaînes de transmission était l'Al-Hadj Ibrahim Niasse de Khalifa. ' » Shaykh Ibrahim a par le passé indiqué au sujet de ses qualifications savantes : « Ce qui j'ai de la manière des autorisations d'ijaza et de muqaddam de `remplirait en effet livre. »

Quant au contenu de son enseignement, il n'était rien plus ou moins que le Qur'an et le Sunnah du prophète Muhammad et de sa revitalisation. Durant toute sa vie, l'exemple du prophète était ses moyens et extrémité. Shaykh Ibrahim employé pour dire, « si le meilleur de l'humanité, le prophète se déplace, même je le suivrai point par point ; et le jour où il s'arrête là de moi ne se déplacera jamais. » Ailleurs dans une poésie, Shaykh Ibrahim a écrit, « si me suis demandé, ce qui est votre madhhab (école de jurisprudence) et qui est votre aimé, je peut répondre que lui le prophète, et aucun autre. »

Shaykh Ibrahim était le meilleur exemple d'un Sufi selon la description « que le Sufi est le fils de son heure (waqtihi d'ibn). » Il répondra aux besoins du temps. À chaque moment il traite les conditions de ce moment. Le musulman qui est le plus grand dans l'arrangement est lui qui soumet à la règle de son heure. C'est-à-dire, il donne à tout la position qu'il exige dans l'action et la parole. Il est une personne se déplaçant avec du temps en cercle. Il n'essaye pas au temps d'arrêt, de ne pas devenir stagnant dans lui, ni de régresser dans lui. Son effort est avancer continuellement visé. Dans la saison de Ramadan il lit Qur'an et Hadith et présente leurs explications. Dans la saison du hadj, il expose les vertus du pélerinage musulman. À l'heure de Mawlid, il expose le Sira ou la biographie du prophète.

Tout ce comportement a caractérisé le Sufism de Shaykh Ibrahim. Il a été basé sur l'action et la pratique, voyageant partout le monde musulman, donnant des discours, écrivant des brochures. Dans chaque effort, son but était de diriger des musulmans vers le chemin droit (mustaqim de siratul). La maladie ne l'a pas tracassé à moins qu'elle ait arrêté son activité au nom de l'Islam de propagation. En effet, son tasawwuf n'a pas été caractérisé par l'insouciance et la négligence (ghafla). Il a été basé sur le vrai Islam, maîtrisant l'individu (nafs) et ordonnant au-dessus de lui avec Qur'an et Sunnah. Son Sufism était produisant et travaillant dans de divers domaines de la vie aux fermes, et ainsi de suite.

Dans un discours dans les années 60, Shaykh Ibrahim a adressé un groupe de la jeunesse musulmane et a indiqué, « pour la jeunesse, je vous remercie tout de vos papiers. Et je suis ici pour vous dire d'avancer et être d'avant-garde des choses. Sûrement le futur de chaque nation est basé sur sa jeunesse. Mais il n'est pas basé sur tous, pas sur chaque individu, mais seulement sur l'intellectuel, l'instruit avec le bon caractère, de bonnes façons, et ardeur. Quant à la jeunesse manquant de l'éducation et du bon caractère, il est comme une graine infertilisée. Faites ainsi tout effort de chercher et faire votre meilleur pour acquérir plus de connaissance, non seulement la connaissance islamique, non seulement des mathématiques et ses branches, mais également faites partie de et coopérez avec ceux dont l'ardeur est de découvrir les choses inconnues et invisibles de ce monde. »

Durant toute sa vie, le caractère de Shaykh Ibrahim a été basé sur le Qur'an et le Sunnah du prophète, un fait a vérifié par les chefs musulmans en avant qui l'ont connu. Par exemple, nous notons dans la lettre du ‑ Tijani - l'Egyptien d'Al de Hafiz de ‑ d'Al de Shaykh Muhammad qui a été connu en tant que premier homme de Hadith dans son âge - les mots :

La « éloge appartient à Allah, après qu'Allah nous ait bénis en nous liant dans l'amour : cet Al-Tijani humble d'Al-Hafiz de Muhammad de domestique et le Hujja, la pierre angulaire de la religion, la mer de la confiance, le croyant en Allah, mon frère et le frère de mon esprit, mon Abi principal Ishaq, Shaykh Ibrahim…. »

Dans sa salutation, il est important pour la note qu'Al-Hafiz de Shaykh emploie le mot Hujja, ou « la preuve », comme forme d'adresse. Les disciples du hadith ont rangé les disciples qui travaillent dans ce domaine. Chaque rang a un nom spécifique. Par exemple, le muhaddith est le narrateur du hadith qui lit des traditions basées sur le récit et le rapport. Le hafiz a mémorisé le hadith au nombre de cent mille avec leur explication. Mais le Hujja a mémorisé trois cents mille hadith avec leurs explications et chaînes de transmission du prophète. De même, une lettre 1961 du sécrétaire général de la ligue musulmane du monde dans Mecque, le ‑ en retard Sabban d'Al de Shaykh Muhammad Surui, adresse Shaykh Ibrahim comme suit :

« Le propriétaire de la vertu, le membre de la Conférence Islamique, ‑ bon de Shaykh Ibrahim Niasse de frère respecté, Assalamu Alaikum. La paix soit sur vous, et la pitié d'Allah, et sa bénédiction soit sur vous. Les pionniers ont laissé le Hijaz, avec les propagateurs de la religion. Ils sont également partis avec la jurisprudence/arrangement (fiqh) du Hijaz, et maintenant il reste avec vous, Shaykh Ibrahim. Le vieux modèle de lire le Qur'an est également parti du Hijaz, mais vous êtes resté lisant le mot d'Allah avec ce même modèle de Hijaz, le modèle de Nafi Mawla Abi Nu'aym. En effet, vous êtes des vraies personnes de Medina dans Fiqh et Qur'an. Ce sont les preuves de votre immuabilité, et ce n'est pas la fierté de moi, mais la fierté est pour vous et par lui. Vous avez cru et immuablement vous avez protégé et écartez la religion et devenez victorieux. »